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PROTECTION DES MIGRANTS VULNERABLES : L’OCADES CARITAS BURKINA LANCE OFFICIELLEMENT LE PROJET « PROMISA » A TENKODOGO - Ocades Caritas Burkina

PROTECTION DES MIGRANTS VULNERABLES : L’OCADES CARITAS BURKINA LANCE OFFICIELLEMENT LE PROJET « PROMISA » A TENKODOGO

Assurer l’assistance et la protection des migrants vulnérables en transit, en facilitant leur accès aux services sociaux de base, tel est l’objectif qui a prévalu au lancement du projet d’appui à la protection des migrants les plus vulnérables sur les routes du sahel (PROMISA). La cérémonie de lancement a eu lieu le Mercredi 31 Mars 2021 au centre Marie immaculée de l’OCADES Caritas Tenkodogo.

  Organisée par les équipes-projets du secrétariat général de l’OCADES Caritas Burkina et du secrétariat exécutif diocésain de l’OCADES Caritas Tenkodogo, elle a été présidée par Monsieur Antoine OUEDRAOGO, gouverneur de de la région du Centre-Est, qui a prononcé un discours faisant office de lancement officiel du projet, après ceux de Madame OUBDA/COMBARY Diane représentant le maire de Tenkodogo, de Monsieur l’abbé Constantin SERE, secrétaire général de l’OCADES Caritas Burkina et de Monseigneur Prosper KONTIEBO, évêque du diocèse de Tenkodogo.

Le projet, implémenté par l’OCADES Caritas Burkina en consortium avec d’autres partenaires comme CRS (Mali et Niger), Welt Hunger Hilfe (WHH), Caritas Mali, sous le lead de Caritas Suisse est mis en œuvre dans trois pays à savoir le Burkina, le Mali et le Niger pour une durée de trois ans.

 

 

 

 

 

 

 

Au Burkina Faso, sa mise en œuvre est assurée par l’ONG WHH dans la région du Centre-Nord, et par l’OCADES Caritas Burkina, à travers le secrétariat exécutif diocésain de l’OCADES Caritas Tenkodogo, dans la région du Centre-Est, plus précisément dans les localités de Tenkodogo, Bittou, Garango et Cinkancé.

Trois catégories de bénéficiaires sont prises en compte dans son opérationnalisation. Il s’agit des femmes et jeunes filles, des migrants victimes de la traite (dont les mineurs) et des migrants non candidats à un retour ou à une réinsertion.

Il est à noter que le projet ne décourage ni n’encourage la migration. Il envisage d’apporter un soutien humanitaire de sorte à ce qu’il y ait moins de morts et de souffrances le long des routes de migration. Il a été financé par l’Union Européenne à hauteur de 329 290 414 FCFA.

 

               Bazié Thierry Simplice

  Service Communication du Secrétariat Exécutif Diocésain de l’OCADES Tenkodogo


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